De nature intrinsèquement normative, l’idée de « bon gouvernement » pose la question du « bon » ou du « bien » pour la communauté politique, à partir d’une matrice principielle et d’une grille de lecture du monde déterminantes pour la réflexion. Mais il existe bien des matrices et des grilles de lecture. La diversité des pensées, des aspirations et des expériences fragilise l’idée de « bon gouvernement ». Ce qui peut être une nécessité pour les uns est un obstacle pour les autres. Comme objet d’analyse, l’idée de « bon gouvernement » est celle qui git tout à la fois dans les expériences et dans les récits, dont le repérage peut être utile pour décrypter ce que font et ce que veulent les hommes, ce qu’ils sont et ce qu’ils deviennent. Quels sont les critères proposés pour le « bon gouvernement », à quelle échelle et dans quel(s) but(s) ? De quoi le « bon gouvernement » doit-il tenir compte, quels sont ses horizons ? Quelle forme doit-il emprunter et par quels moyens ?

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