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Européennes un enjeu majeur

Elisabeth Bucher, Osthoffen (Bas-Rhin)

Bravo à Thomas Mahler pour son article consacré à l’historien russe Sergueï Medvedev. Il doit nous amener à réfléchir. Allons-nous vers une troisième guerre mondiale ? Sommes-nous déjà dans ses prémisses ? Que penser de l’Europe, inexistante, démunie, bloquée par les propos populistes de certains ? L’enjeu des élections européennes est majeur. Merci à toute l’équipe de L’Express pour la qualité et l’objectivité de ses publications (Sergueï Medvedev : “Une confrontation militaire entre l’Occident et la Russie sera inévitable“”, L’Express du 2 mai.)

N’oublions pas l’agriculture !

Christophe Deleuse, L’Arbresle (Rhône)

L’excellent entretien avec Emmanuel Macron me semble mettre la lumière (en creux…) sur un impensé de la Macronie en matière économique et culturelle : l’agriculture. Ce qui fut l’une des “mamelles” de la France n’y apparaît, sauf erreur, à aucun moment. C’est d’autant plus dommage qu’il s’agit d’un domaine où les traditions autant que les nouvelles technologies ont une place à jouer, où les savoir-faire pullulent, où notre pays jouit d’une sacrée légitimité et – même – d‘une excellente réputation. Il serait grand temps que nos élites daignent jeter un œil depuis Paris sur ce pan entier de l’activité qui détient entre ses mains une partie de notre avenir commun, tant matériel (production d’aliments, entretien du territoire…) qu’immatériel (rayonnement des “terroirs français”, savoir-faire spécifiques…). Il serait dommage que nous ne soyons plus capables de nous nourrir correctement parce que notre agriculture aurait été oubliée, quelque part dans un bureau de l’Elysée, un jour de mai 2024. (“Emmanuel Macron : “On garde le cap car notre stratégie est la bonne””, L’Express du 23 mai.)

Nouvelle-Calédonie : retirons nos œillères

Benoît Sorel, Saint-Jean-de-Daye (Manche)

Nous pouvons continuer à affirmer que la France est une et indivisible et envoyer des forces armées pour rétablir l’ordre en Nouvelle-Calédonie. A Mayotte. En Guyane. En Guadeloupe. Ou bien retirer nos œillères et comprendre que c’est dans le changement que naissent les opportunités. L’évolution est possible. Le peuple kanak a choisi la révolte, c’est-à-dire le mouvement. La République doit l’écouter et bouger avec lui, pour aller ensemble vers un nouvel objectif humaniste. (“Nouvelle-Calédonie : l’urgence de (re) lire Rocard”, L’Express du 23 mai.)

Macron dans le piège kanak

Franck Lopez, Saint-Martin (Saint-Martin)

Emmanuel Macron ne se sortira pas du piège calédonien. Les Kanaks ne sont pas les Français, ils ont le courage des peuples qui se rebellent et aspirent depuis trop longtemps à l’indépendance. D’autres l’ont compris avant le président de la République, irresponsable coyote de ce Far West bien trop éloigné de la métropole qui, à force de s’obstiner, engendrera comme des relents d’Ouvéa. Il lui en coûtera le sang des innocents. (“Nouvelle-Calédonie : ce très cher territoire de la République”, L’Express du 30 mai.)

Lutte antidrogue

‌Michel Fricaud, Biarritz (Pyrénées-Atlantiques)

En matière de trafic de drogue, il semble que le jeu du chat et de la souris soit inversé. La souris se joue du chat, comme si les trafiquants prenaient plaisir à défier l’autorité en étant sûrs de leur impunité. Ceci est d’autant plus sensible que le troupeau de petits revendeurs mineurs est protégé par la loi et que ce troupeau lui-même protège les échelons supérieurs. Dans ces conditions, pourquoi ne pas suivre l’exemple du tabac et mener une sévère politique orientée vers les consommateurs plutôt que vers les fournisseurs ? Attaquer les consommateurs de drogue au porte-monnaie mettrait face aux policiers des personnes moins endurcies que les vendeurs aguerris. Comme pour le tabac, cette méthode ferait baisser les ventes et les profits des délinquants et sauverait la vie à des drogués. (“Ces quartiers gouvernés par les dealers”, L’Express du 4 avril.)

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