La politique à ''mpg_com1}}1

Politique et démocratie à Vocance, Ardèche

Politique et démocratie à Vocance pourraient bien changer avec l’arrivée du Moove. Le Mouvement Démocratie Directe Participative y compte déjà 98 sympathisants potentiels !

À Vocance, la chose politique prend un autre sens sens avec Le Moove

Avec un nombre estimé de 98 sympathisants à Vocance, le Mouvement Démocratie Directe Participative (M.D.D.P. “Le Moove”) semble bien s’avérer devenir un parti politique efficace quand il s’agit de la situation désespérée de la “démocratie” représentative.

98 adeptes du MDDP et d’une vraie démocratie à Vocance ?

En effet, c’est la conclusion à laquelle on aboutit par le raisonnement logique suivant :

A comme Abstention en politique

Tout d’abord, l’abstention aux élections en France n’est pas, contrairement à l’idée reçue, le premier parti de France.
En effet, la recherche en matière électorale indique que le profil des abstentionnistes varie d’une élection à l’autre. Il est donc peu crédible de les assembler dans un courant politique de pure fiction.
Cependant, les records de l’abstention ne cessent de grimper pour atteindre aujourd’hui, à plus ou moins 50% du corps électoral. Ce qui veut dire que c’est un électeur sur deux qui se prive ainsi de son droit de vote !
Pour Vocance, cela correspond à 196. Conservons ce chiffre en mémoire, et nommons-le : “A”, comme Abstentionnistes.

S comme Sanction politique

Pour continuer, et en focalisant sur, cette fois, les votants, il est aujourd’hui admis qu’une partie d’entre-eux pratiquent ce qu’on appelle “le vote sanction”.
Or, qu’est-ce que le vote sanction ? Si un électeur vote pour le candidat “X” dans le seul but de sanctionner “Y”, peut-on continuer à appeler cela un “vote” ? N’est-on pas, au contraire, en face d’une sorte de dénégation du vote lui-même ? Et de là à en conclure qu’un tel “vote” représente en réalité une manifestation explicite de rejet du système électoral et même de la “démocratie” représentative dans leur principe, il n’y a qu’un pas, que nous n’hésitons pas à franchir !
Dès lors, l’on peut s’interroger : ces électeurs démissionnaires, écœurés de “démocratie” représentative, sont-ils pour autant perdus pour la démocratie directe participative ? Certes non ! Est-ce prétention de l’affirmer ? Il en résulte qu’il n’est pas insensé de tenter de cerner leur nombre.
Les enquêtes donnent des indications qui varient, pour le vote sanction, dans de telles proportions (de 10 à 70% !) qu’on peut difficilement les prendre en référence*. Tout dépend en effet de l’élection envisagée, du profil politique des enquêtés et bien entendu des candidats considérés.
Nous réserverons donc, quant à nous, le taux raisonnable de 10% des votants pour calculer le nombre de votes sanction, et nous nommerons cette deuxième variable : “S”.

* L’enquête en ligne de MaDemocratie.FR nous en dira plus dans quelques mois…

E comme Espoir politique

Notre troisième variable, c’est l’espoir. Comme partout en effet, la politique à Vocance s’alimente aussi d’espoir. La politique, au sens premier du terme, permet de penser le monde, l’imaginer et – finalement ? –, le réaliser. Elle est, en cela, d’abord le fruit de l’esprit, voire de l’imagination.
Il est donc légitime de miser sur l’espérance que peut faire naître un projet de démocratie réelle, directe et participative, pour le comptage de ses sympathisants potentiels. Et cela d’autant plus que les horizons bouchés de la “démocratie” représentative, véritable “démocratie de l’impasse”, ne sèment, quant à eux, que désespoir et résignation.
En raison de quoi nous réserverons, là-encore avec prudence, 10% des votants sous la référence “E” comme Espoir.

R comme Réalisme politique’

Comme disait Marcel Pagnol : “Avec un porte-plume, c’est facile de faire des multiplications et des lapins.” (Jean de Florette). Évitons ce piège…
Si l’on s’appuyait sur nos trois variables A + S + E, l’on obtiendrait, peu ou prou 60% des inscrits comme sympathisants potentiels pour la démocratie directe à Vocance (+/- 50% des électeurs inscrits s’abstenant pour A, B et C étant basées sur les votants et non les inscrits). Évidemment, ce serait un peu trop simple…
Soyons donc réalistes et ne retenons que le quart d’entre-eux, à savoir 20 à 25% du corps électoral potentiel (les inscrits). Approximativement un sur quatre. À Vocance, le nombre d’inscrits étant de 429, nous en déduisons que 98 électeurs sont de potentiels sympathisants du mouvement pour la démocratie directe participative !

À Vocance, politique et démocratie font un “jeu sérieux”

« Un jeu sérieux (de l’Anglais serious game : serious, « sérieux » et game, « jeu ») est une activité qui combine une intention « sérieuse » — de type pédagogique, informative, communicationnelle, marketing, idéologique ou d’entraînement — avec des ressorts ludiques. De manière synthétique, un jeu sérieux englobe tous les jeux de société, jeux de rôle et jeux vidéo qui s’écartent du seul divertissement. » (Wikipedia)
Le jeu politique consiste sur LeMoove.FR à se représenter soi-même dans un univers de politique fiction qui permettrait à chaque joueur – en réalité chaque citoyen –, de prendre une part directe dans la formation de la décision publique, c’est-à-dire politique. Il devrait également veiller à son application en disposant des moyens de contrôle de l’administration étatique dans toutes ses dimensions, à la fois gouvernementales et judiciaires. Il s’agit donc un jeu de rôle où chaque joueur peut être, selon son choix, citoyen, député ou sénateur, ministre ou président, juge ou policier, etc. etc.

Les 5 dimensions du jeu politique moovien

Politique et démocratie en France 2

1 – Le jeu des “Maladies de la Démocratie”

La démocratie est très affaiblie (euphémisme ?). Tout le monde paraît d’accord sur ce point.
Hélas, rares sont ceux qui ont posé un diagnostic précis sur son état de santé. De quoi souffre-t-elle ? Est-ce une infestation ? Est-ce un cancer ? Quels sont les symptômes du mal ? Comment les identifier ? Et peut-on la soigner ? Et si oui, comment ? Avec quels remèdes ?
Le jeu des maladies de la démocratie devrait nous amener à pouvoir répondre collectivement à ces questions, et au-delà, de répondre peut-être à une autre question : est-ce la démocratie qui dépérit, ou est-ce seulement la ” “démocratie” représentative ” ? Car bien sûr, dans le second cas, il faudra d’abord pouvoir accorder que la démocratie puisse être représentative… Le débat est ouvert. C’est un forum politique. Nous avons déjà identifié une vingtaine de symptômes pour débuter la partie…
Politique et démocratie en France - 3

2 – Le jeu des “Voting Machines”

La politique, c’est un jardin d’idées. Elles y jaillissent dans le tumulte, l’une chassant l’autre en moins de temps qu’il en faudrait pour l’actionner, lui donner vie. C’est pourquoi les idées vraiment nouvelles en politique meurent avant même d’avoir vécu. Seules en réchappent celles qui ne font, au final, qu’en renforcer une ancienne, déjà vue, souvent même rebattue à l’infini.
La démocratie est de ces idées-là. Elle ne se renouvelle plus, elle se perpétue dans un déguisement, une tare congénitale : la représentativité. L’idée nouvelle de la démocratie serait la démocratie elle-même. La vraie. La seule. Nue. Brute. Celle du “gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple” ; celle de “démocratie réelle”. Mais les idées nouvelles font peur à l’homme. Tout ce qui est nouveau l’effraie. C’est contre son besoin primaire de sécurité. Alors il se donne des “représentants”, l’homme.
Cela étant, au fond du tunnel sombre de l’histoire humaine, les idées vétustes meurent aussi. C’est inévitable. Et la “représentativité”, justement, est à l’agonie. Peut-être même est-elle déjà morte, comment être sûr ?
Il y a bien un moyen pourtant, et c’est de tester l’idée nouvelle qui va la remplacer. En d’autres termes : tester l’idée de “démocratie réelle” ! Mesurer sa son énergie vitale, évaluer son acceptation. Mais la démocratie réelle est une idée bien trop vaste pour être mise tout entière sur le métier. Il faut donc la découper en petits morceaux et travailler d’abord chacun d’eux. Et encore faut-il le faire progressivement…
C’est le moyen qu’offre ce jeu des “Voting Machines”. Tester de petits échantillons de la grande idée de démocratie réelle, un à un, petit à petit, pour ne garder que ceux “dont le temps est venu”. C’est une sorte de tamis à trois grilles que ce jeu politique : au premier niveau, la grille est à larges trous. C’est le sondage. Chacun peut y soumettre n’importe quelle idée.
Au second niveau, le diamètre des trous se resserre, c’est le tamis de la pétition politique. Seules les idées qui ont passé la première grille peuvent y être soumises.
Enfin, au troisième niveau, où seules sont admises les idées qui ont passé les deux premiers filtres, c’est le référendum. Le R.I.C. en réalité (Référendum d’Initiative Citoyenne).
En procédant de cette manière, l’on se donne plus de chances de gagner la partie.
Politique et démocratie en France - 4

3 – Le jeu de la Constitution pour une République Citoyenne

Ici, nous créons ensemble la nouvelle constitution pour la République Citoyenne de France (RCF). Naturellement, cette république sera placée sous le régime de la démocratie réelle (directe). Conséquemment, il s’agit donc ici, dans ce jeu, de devenir constituant (et même un peu de constitutionnaliste !) et d’essayer de prévoir toutes les situations de la vie politique et sociale du pays, la nouvelle constitution devant garantir le fonctionnement harmonieux des institutions.
En effet, la constitution est la loi suprême qui établit les principes qui font l’État et définit les droits et les devoirs de tous. Elle sert de base à l’organisation politique et institutionnelle du pays en définissant les modalités de son gouvernement, les pouvoirs et les responsabilités de chacune de ses branches, ainsi que les droits fondamentaux des individus. C’est le texte référentiel qui assure la stabilité et la continuité des institutions. Loi suprême, tous les autres textes doivent être conformes à ses dispositions.
Par ailleurs, la constitution joue un rôle crucial dans la protection des droits et libertés des citoyens. Elle pose les principes de l’État de droit, garantit l’égalité devant la loi, et protège les libertés fondamentales telles que la liberté d’expression, la liberté de religion et la liberté d’association.
Elle établit également les mécanismes de contrôle et d’équilibre entre les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, afin d’éviter les abus et de garantir le respect des droits de tous les citoyens.
Politique et démocratie en France - 5

4 – Le jeu du Gouvernement Démocratique

Dans ce jeu de politique fiction, les joueurs doivent préciser la nature du gouvernement démocratique qu’ils désirent – ou non – constituer.La mise en place d’un gouvernement est-elle indispensable dans une démocratie réelle et directe ?
La question donne lieu à un débat complexe et passionné parmi les spécialistes politiques et les citoyens engagés.
Les uns pensent que la démocratie directe, où les citoyens prennent eux-mêmes les décisions politiques, ne nécessite pas de gouvernement central. Selon eux, les assemblées populaires et autres conventions citoyennes et les référendums (RIP, RIC…) peuvent suffire à garantir une prise de décision collective et équitable.
À l’inverse, les autres estiment qu’un gouvernement central est indispensable pour harmoniser les actions politiques, mettre en œuvre les politiques publiques et garantir continuité et sécurité de la société.
Une démocratie réelle et directe peut fonctionner sans un gouvernement traditionnel, mais cela ne signifie pas qu’elle peut faire l’impasse de toute forme de gouvernance. À la place d’un gouvernement centralisé, une démocratie directe peut s’appuyer sur des structures décentralisées et participatives. Par exemple, des conseils locaux ou des assemblées de quartier peuvent être institutionnalisés pour permettre aux citoyens de discuter et de décider des questions qui les concernent en premier lieu. Ces organes de gouvernance au plus proche du citoyen peuvent ensuite être reliés entre eux par des réseaux de communication et de coordination pour assurer une prise de décision collective à l’échelle nationale.
Il est important de noter par ailleurs que la mise en place d’un gouvernement dans une démocratie réelle et directe n’implique pas inévitablement un retour à un système politique centralisé et hiérarchique. Au contraire, un gouvernement dans cette situation politique pourrait se concevoir de façon à être transparent, responsable et redevable envers les citoyens, et donc révocable. Il serait alors composé de représentants élus et/ou tirés au sort par les assemblées populaires, lesquels représentants seraient chargés de mettre en œuvre les décisions prises collectivement. Ils seraient en même temps soumis à des mécanismes de contrôle et de validation de comptes stricts et objectifs pour éviter les abus de pouvoir et la corruption, et garantir la participation citoyenne continue dans le processus de décision politique.
Le jeu du gouvernement démocratique doit encore permettre de démontrer que les risques de dictature de la majorité d’une part, et le risque de lenteur du processus de décision politique d’autre part, souvent mis en avant par les pourfendeurs de la démocratie réelle et directe, sont mauvais procès.
En effet, pour le premier, la démocratie réelle jouit, davantage encore que la “démocratie” représentative, d’une dynamique qui autorise de changer les orientations politiques aussi souvent que nécessaire, et par ailleurs l’un de ses principes fondamentaux est justement le respect des minorités.
Pour le second, la participation au jeu devrait amener les joueurs à prendre conscience du caractère impérieux d’un formalisme rigoureux et rationnel dans les processus de décision en démocratie directe. Or, qui dit “formalisme” dit “peu, voire pas de marge de manœuvre (d’interprétation)”. Donc… plus de vélocité et d’efficacité !
Politique et démocratie en France - 6

5 – Le jeu du Parti politique de Nouvelle Génération

Le but de ce jeu est d’inventer le parti politique en démocratie réelle et directe que sera notamment le MDDP (Mouvement Démocratie Directe Participative – Le Moove).
À quoi servirait un parti politique dans une démocratie réelle et directe où les délégués du peuple ne seraient plus élus mais tirés au sort ? Un parti politique qui “ne prendrait pas parti” pourrait-il seulement exister ? Autrement dit, un parti politique sans autre programme que celui de favoriser la démocratie et défendre les intérêts des citoyens serait-il possible ?
Dans une démocratie directe où les délégués du peuple seraient tirés au sort, les partis politiques pourraient néanmoins se voir attribuer un rôle crucial en tant qu’organisations facilitant la participation politique et la représentation des citoyens.
En effet, bien que les représentants soient désignés au hasard, les partis politiques pourraient constituer une plateforme permettant aux citoyens de débattre des problèmes et de formuler des propositions politiques consensuelles. Ils animeraient des débats, des conférences et des campagnes d’information citoyenne sur les différentes options politiques et les conséquences des choix. Ils joueraient également un rôle non négligeable dans la mobilisation des électeurs et la sensibilisation aux enjeux politiques, œuvrant ainsi à la formation d’une opinion publique éclairée.
En outre, les partis politiques pourraient jouer un rôle de médiation et devenir, à l’instar des syndicats dans le domaine social, le corps intermédiaire du politique entre les citoyens et leurs représentants tirés au sort. Ils formeraient ainsi un canal de communication entre les citoyens et les représentants, en recueillant les préoccupations et les demandes des premiers et en les transmettant aux seconds. Les partis politiques pourraient également aider à coordonner les actions des représentants et à faciliter la prise de décision collective.
En agissant en tant qu’intermédiaires, les partis politiques pourraient contribuer à renforcer la légitimité et l’efficacité du système démocratique dans une démocratie réelle et directe.
Tout ce qui précède étant accepté, il n’en reste pas moins que le parti politique “de nouvelle génération” pourra se réclamer d’une idéologie. Le Moove, par exemple, revendique celle de l’humanisme démocratique. C’est dire clairement qu’il met l’Homme et les valeurs humanistes des Lumières au centre du système démocratique, avant de pouvoir y inclure toute dimension matérialiste…

Politique et démocratie en France → choisir une autre commune que Vocance

Generated by MPG