La politique à ''mpg_com1}}1

Politique et démocratie à Varambon, Ain

Politique et démocratie à Varambon pourraient bien changer avec l’arrivée du Moove. Le Mouvement Démocratie Directe Participative y compte déjà 96 sympathisants potentiels !

À Varambon, la vie politique prend des allures démocratiques avec Le Moove

Avec un total estimé de 96 sympathisants à Varambon, le Mouvement Démocratie Directe Participative (mouvement politique pour la démocratie directe – Le Moove) semble bien être une alternative à prendre en compte quand il s’agit d’affronter la situation désespérée de la “démocratie” représentative.

96 sympathisants du MDDP et de la démocratie citoyenne à Varambon ?

En effet, c’est l’hypothèse à laquelle on accède par le raisonnement logique suivant :

A comme Abstention en politique

Pour commencer, l’abstention aux élections en France n’est pas, comme on le prétend parfois, le premier parti de France.
En effet, la sociologie électorale nous dit que le profil des non votants varie d’une élection à l’autre. Il est donc peu judicieux de les assembler dans un courant politique fictif.
Cependant, les chiffres de l’abstention ne cessent d’augmenter pour se situer aujourd’hui, à environ 50% du corps électoral. Donc, c’est un électeur sur deux qui se prive ainsi de son droit de vote !
Pour Varambon, cela fait un total de 191. Gardons ce chiffre en mémoire, et nommons-le : “A”, comme Abstentionnistes.

S comme Sanction politique

Deuxièmement, et en nous concentrant sur, maintenant, les présents (votants), il est de nos jours convenu qu’une partie d’entre-eux s’adonnent à ce qu’on appelle “le vote sanction”.
Or, qu’est-ce que le vote sanction ? Quand un électeur vote pour le candidat “X” dans le seul but de sanctionner “Y”, peut-on toujours qualifier cet acte de “vote” ? N’est-on pas, à l’inverse, en face d’une sorte de dénégation du vote lui-même ? Et de là à en conclure qu’un tel “vote” constitue au final une manifestation claire de rejet du système électoral et même de la “démocratie” représentative dans leur principe, il n’y a qu’un pas, que nous franchissons allègrement !
Une fois là, l’on peut se poser la question suivante : ces électeurs démissionnaires, insatisfaits de la “démocratie” représentative, sont-ils pour autant perdus pour la démocratie directe participative ? Certainement pas ! Est-ce prétention de l’affirmer ? On en déduit qu’il n’est pas aberrant de tenter de les compter.
Les sondages produisent des résultats qui oscillent, pour le vote sanction, dans des proportions telles (de 10 à 70% !) qu’on peut difficilement s’y référer*. Tout dépend en effet de l’élection considérée, du profil politique des répondants et bien entendu des candidats considérés.
Nous réserverons donc, quant à nous, le taux raisonnable de 10% des votants pour calculer le nombre de votes sanction, et nous nommerons cette deuxième variable : “S”.

* L’enquête en ligne de MaDemocratie.FR nous en dira plus dans quelques mois…

E comme Espoir politique

Notre troisième variable est l’espoir. Comme partout en effet, la politique à Varambon se nourrit aussi d’espoir. La politique, au sens premier du terme, permet de conceptualiser l’environnement social, l’imaginer et – finalement ? –, le projeter dans une réalité. Elle est, en cela, d’abord l’action de l’esprit, voire de l’imagination.
Il est donc naturel de tenir compte de l’espérance que peut faire naître un projet de démocratie réelle, participative et directe, pour compter ses sympathisants potentiels. Et ce, d’autant plus que les horizons bouchés de la “démocratie” représentative, véritable “démocratie de l’impasse”, ne sèment, à l’inverse, que désespérance et résignation.
En conséquence de quoi nous réserverons, là-encore avec prudence, 10% des votants sous la référence “E” comme Espoir.

R comme Réalisme politique’

Comme disait Marcel Pagnol : “Avec un porte-plume, c’est facile de faire des multiplications et des lapins.” (Jean de Florette). Évitons ce piège…
Si l’on s’appuyait sur nos trois variables A + S + E, l’on obtiendrait, peu ou prou 60% des inscrits comme sympathisants potentiels pour la démocratie directe à Varambon (+/- 50% des électeurs inscrits s’abstenant pour A, B et C étant basées sur les votants et non les inscrits). Évidemment, ce serait probablement présomptueux…
Soyons donc réalistes et ne retenons que le quart d’entre-eux, à savoir 20 à 25% du corps électoral potentiel (les inscrits). Soit environ un sur quatre. À Varambon, le nombre d’inscrits étant de 419, nous en déduisons que 96 électeurs sont de potentiels sympathisants du mouvement pour la démocratie directe participative !

À Varambon, politique et démocratie font un “jeu sérieux”

« Un jeu sérieux (de l’Anglais serious game : serious, « sérieux » et game, « jeu ») est une activité qui combine une intention « sérieuse » — de type pédagogique, informative, communicationnelle, marketing, idéologique ou d’entraînement — avec des ressorts ludiques. De manière synthétique, un jeu sérieux englobe tous les jeux de société, jeux de rôle et jeux vidéo qui s’écartent du seul divertissement. » (Wikipedia)
Le jeu politique consiste sur LeMoove.FR à se représenter soi-même dans une situation de politique fiction accordant le droit à chaque joueur – ici chaque citoyen –, de contribuer directement à la formation de la décision publique, c’est-à-dire politique. Il serait aussi chargé de veiller à son application en disposant des moyens de contrôle de l’administration étatique dans toutes ses dimensions, à la fois gouvernementales et judiciaires. Nous avons donc un jeu de rôle où chaque joueur peut être, selon son humeur, citoyen, député ou sénateur, ministre ou président, juge ou policier, etc. etc.

Les 5 dimensions du jeu politique du Mouvement Démocratie Directe Participative

Politique et démocratie en France 2

1 – Le jeu des “Maladies de la Démocratie”

La démocratie est patraque. Tout le monde semble l’admettre sans difficulté.
Cela dit, nous sommes peu nombreux à avoir posé un diagnostic précis sur son état. Quelle est cette maladie ? Est-ce une infestation ? Est-ce un cancer ? Quels sont les symptômes du mal ? Comment les repérer ? Et peut-on la traiter ? Et si oui, comment ? Y a-t-il des remèdes ?
Le jeu des maladies de la démocratie a pour ambition de nous permettre de répondre ensemble à ces questions, et au-delà, de répondre peut-être à une autre question : est-ce la démocratie qui va mal, ou est-ce seulement la ” “démocratie” représentative ” ? Car il va de soi que, dans le deuxième cas, il faudrait d’abord pouvoir accorder que la démocratie puisse être représentative… Le débat est lancé. C’est un forum politique. Nous proposons déjà une vingtaine de symptômes pour démarrer la partie…
Politique et démocratie en France - 3

2 – Le jeu des “Voting Machines”

La politique, c’est le champ des idées. Elles y jaillissent dans le tumulte, l’une chassant l’autre en moins de temps qu’il en faudrait pour l’actionner, lui donner vie. C’est comme cela que les idées vraiment innovantes en politique meurent avant même d’avoir vécu. Seules en réchappent celles qui ne font, au final, qu’en renforcer une ancienne, déjà vue, souvent même éculée comme vieille chaussure.
La démocratie est de ces idées-là. Elle ne se renouvelle plus, elle se perpétue dans un artifice, une faiblesse originelle : la représentativité. L’idée nouvelle de la démocratie serait la démocratie elle-même. La vraie. La seule. Nue. Brute. Celle du “gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple” ; celle de “démocratie réelle”. Mais les idées nouvelles font peur à l’homme. Tout ce qui est nouveau le terrorise. C’est contraire à son besoin fondamental de sécurité. Alors il se donne des “représentants”, l’homme.
Après, au fond du tunnel sombre de l’histoire, les idées usées périssent aussi. C’est inéluctable. Et la “représentativité”, justement, est agonisante. Peut-être même est-elle déjà morte, comment être sûr ?
Il y a peut-être un moyen cependant, et c’est de tester l’idée nouvelle qui va la remplacer. En d’autres termes : tester l’idée de “démocratie réelle” ! Mesurer sa sa vivacité, évaluer sa notoriété. Mais la démocratie réelle est une idée bien trop lourde pour être mise tout entière sur le métier. Il faut donc la découper en petits morceaux et travailler d’abord chacun d’eux. Et encore faut-il le faire progressivement…
C’est le moyen qu’offre ce jeu des “Voting Machines”. Tester des petits morceaux de la grande idée de démocratie réelle, un à un, petit à petit, pour ne garder que ceux “dont le temps est venu”. C’est une sorte de tamis à trois grilles que ce jeu politique : au premier niveau, la grille est à larges trous. C’est le sondage. Chacun peut y soumettre n’importe quelle idée.
Au second niveau, le diamètre des trous se réduit, c’est le tamis de la pétition politique. Seules les idées qui ont passé la première grille peuvent y être soumises.
Enfin, au troisième niveau, où l’on n’admet que les idées qui ont passé les deux premiers filtres, c’est le référendum. Le R.I.C. en réalité (Référendum d’Initiative Citoyenne).
En procédant de cette façon, l’on s’assure de gagner la partie.
Politique et démocratie en France - 4

3 – Le jeu de la Constitution pour une République Citoyenne

Ici, les participants créent ensemble la nouvelle constitution pour la République Citoyenne de France (RCF). Naturellement, cette république sera placée sous le régime de la démocratie directe. Conséquemment, il s’agit ici, dans ce jeu, de se donner le rôle de constituant (et même un peu de constitutionnaliste !) et d’essayer d’anticiper toutes les situations de la vie politique et sociale du pays, la nouvelle constitution devant permette un fonctionnement sans accroc des institutions.
Au-delà, la constitution est la loi suprême qui établit les principes qui garantissent l’État et définit les droits et les devoirs de tous. Elle sert de base à la structuration politique et institutionnelle du pays en définissant les modalités de son gouvernement, les pouvoirs et les responsabilités de chacune de ses composantes, ainsi que les droits fondamentaux des individus. C’est le texte de référence qui détermine la stabilité et la continuité des institutions. Loi suprême, toutes les autres lois doivent être conformes à ses dispositions.
Par ailleurs, la constitution joue un rôle premier dans la garantie des droits et libertés des citoyens. Elle établit les principes de l’État de droit, garantit l’égalité devant la loi, et protège les libertés fondamentales telles que la liberté d’expression, la liberté de religion et la liberté d’association.
Elle établit également les mécanismes de contrôle et d’équilibre entre les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, pour d’éviter les abus et de garantir le respect de ses droits à chaque citoyen.
Politique et démocratie en France - 5

4 – Le jeu du Gouvernement Démocratique

Dans ce jeu de politique fiction, les joueurs doivent préciser le type de gouvernement démocratique qu’ils veulent – ou non – mettre en place.La mise en place d’un gouvernement est-elle inévitable dans une démocratie réelle et directe ?
La question active un débat complexe et passionné parmi les spécialistes politiques et les citoyens engagés.
Les uns pensent que la démocratie directe, où les citoyens prennent eux-mêmes les décisions politiques, ne nécessite pas de gouvernement central. Selon eux, les assemblées populaires et autres conventions citoyennes et les référendums (RIP, RIC…) suffisent à assurer une prise de décision collective et équitable.
À l’opposé, certains estiment qu’un gouvernement central est indispensable pour harmoniser l’action politique, mettre en œuvre les politiques publiques et garantir stabilité et sécurité de la société.
Une démocratie réelle et directe peut fonctionner sans un gouvernement traditionnel, mais cela ne signifie pas qu’elle peut faire l’impasse de toute instance de gouvernance. À la place d’un gouvernement centralisé, une démocratie directe peut s’appuyer sur des structures décentralisées et participatives. Par exemple, des conseils locaux ou des assemblées de quartier peuvent être mis en place pour permettre aux citoyens de discuter et de décider des questions qui les concernent directement. Ces organes de gouvernance décentralisée peuvent ensuite être reliés entre eux par des réseaux de communication et de coordination pour assurer une prise de décision collective à l’échelle nationale.
Il est utile de noter par ailleurs que la mise en place d’un gouvernement dans une démocratie réelle et directe n’impose pas nécessairement un retour à un système politique centralisé et hiérarchique. Au contraire, un gouvernement dans cette situation politique pourrait être conçu de façon à être transparent, responsable et redevable envers les citoyens, et donc révocable. Il pourrait être composé de représentants élus et/ou tirés au sort par les assemblées populaires, lesquels représentants seraient chargés de mettre en œuvre les décisions prises collectivement. Ils seraient en même temps soumis à des mécanismes de contrôle et de reddition de comptes stricts et objectifs pour éviter les abus de pouvoir et la corruption, et garantir la participation citoyenne permanente dans le processus de décision politique.
Le jeu du gouvernement démocratique doit encore permettre d’établir que les risques de dictature de la majorité d’une part, et le risque de lenteur du processus de décision publique d’autre part, souvent mis en avant par les pourfendeurs de la démocratie réelle et directe, sont mauvais procès.
En effet, pour le premier, la démocratie réelle jouit, davantage encore que la “démocratie” représentative, d’une dynamique qui autorise de changer les orientations politiques aussi souvent que nécessaire, et par ailleurs l’un de ses principes fondamentaux consiste justement dans le respect des minorités.
Pour le second, la participation au jeu devrait amener les joueurs à prendre conscience de la nécessité d’un formalisme rigoureux et rationnel dans les processus de décision en démocratie directe. Or, qui dit “formalisme” dit “peu, voire pas de marge de manœuvre (d’interprétation)”. Donc… plus de vélocité et d’efficacité !
Politique et démocratie en France - 6

5 – Le jeu du Parti politique de Nouvelle Génération

Le but de ce jeu c’est d’inventer le parti politique de l’avenir que sera notamment le MDDP (Mouvement Démocratie Directe Participative – Le Moove).
À quoi pourrait bien servir un parti politique dans une démocratie réelle et directe où les “élus” du peuple ne seraient plus élus mais tirés au sort ? Un parti politique qui “ne prendrait pas parti” pourrait-il encore se justifier ? Autrement dit, un parti politique sans autre programme que celui de favoriser la démocratie et défendre les intérêts de chaque citoyen serait-il viable ?
Dans une démocratie directe où les représentants du peuple seraient tirés au sort, les partis politiques pourraient néanmoins avoir un rôle de premier plan en tant qu’organisations facilitant la participation politique et la représentation des citoyens.
En effet, bien que les représentants soient choisis au hasard, les partis politiques pourraient constituer une plateforme permettant aux citoyens de débattre des problèmes et de construire des propositions politiques consensuelles. Ils animeraient des débats, des conférences et des campagnes d’information citoyenne sur les différentes orientations politiques et les conséquences des choix. Ils joueraient également un rôle non négligeable dans la mobilisation des électeurs et la sensibilisation aux enjeux politiques, contribuant ainsi à la formation d’une opinion publique éclairée.
En outre, les partis politiques pourraient jouer un rôle de médiation et devenir, comme le sont les syndicats dans le domaine social, le corps intermédiaire du politique entre les citoyens et leurs représentants tirés au sort. Ils formeraient de cette façon un canal de communication entre les citoyens et les représentants, en recueillant les préoccupations et les demandes des premiers et en les transmettant aux seconds. Les partis politiques pourraient également aider à coordonner les actions des représentants et à faciliter la prise de décision collective.
En agissant en tant qu’intermédiaires, les partis politiques pourraient contribuer à renforcer la légitimité et l’efficacité du système démocratique dans une démocratie réelle et directe.
Tout ce qui précède étant accepté, il n’en reste pas moins que le parti politique “de nouvelle génération” pourra se réclamer d’une idéologie. Le Moove, par exemple, revendique celle de l’humanisme démocratique. C’est dire clairement qu’il met l’Homme et les valeurs humanistes des Lumières au centre du système démocratique, avant de pouvoir y inclure toute dimension matérialiste…

Politique et démocratie en France → choisir une autre commune que Varambon

Generated by MPG