Politique et démocratie à Saint-Maurice-de-Beynost, Ain
Politique et démocratie à Saint-Maurice-de-Beynost pourraient bien changer avec l’arrivée du Moove. Le Mouvement Démocratie Directe Participative y compte déjà 641 sympathisants potentiels !
À Saint-Maurice-de-Beynost, la vie politique prend forme démocratique avec Le Moove
Avec un total estimé de 641 sympathisants à Saint-Maurice-de-Beynost, le Mouvement Démocratie Directe Participative (MDDP – Le Moove) pourrait bien s’avérer pouvoir devenir un parti valable quand il s’agit d’apporter réponse à la situation désespérée de la “démocratie” représentative.
641 sympathisants du MDDP et de la démocratie citoyenne à Saint-Maurice-de-Beynost ?
En effet, c’est la conclusion à laquelle on parvient par le raisonnement logique qui suit :
A comme Abstention en politique
Premièrement, l’abstention aux élections en France n’est pas, comme on le prétend parfois, le premier parti de France.
En effet, les études de l’électorat nous montrent que le profil des abstentionnistes varie d’une élection à l’autre. Il est donc peu judicieux de les assembler dans un courant politique de pure fiction.
Cela étant, les scores de l’abstention ne cessent de grimper pour atteindre aujourd’hui, à peu ou prou 50% de l’électorat potentiel. Donc, c’est un électeur sur deux qui renonce ainsi à son droit de vote !
Pour Saint-Maurice-de-Beynost, cela fait 1282. Conservons ce chiffre de côté, et nommons-le : “A”, comme Abstentionnistes.
En effet, les études de l’électorat nous montrent que le profil des abstentionnistes varie d’une élection à l’autre. Il est donc peu judicieux de les assembler dans un courant politique de pure fiction.
Cela étant, les scores de l’abstention ne cessent de grimper pour atteindre aujourd’hui, à peu ou prou 50% de l’électorat potentiel. Donc, c’est un électeur sur deux qui renonce ainsi à son droit de vote !
Pour Saint-Maurice-de-Beynost, cela fait 1282. Conservons ce chiffre de côté, et nommons-le : “A”, comme Abstentionnistes.
S comme Sanction politique
Deuxièmement, et en observant, cette fois, les électeurs actifs, il est aujourd’hui certain qu’une partie d’entre-eux s’adonnent à ce qu’on appelle “le vote sanction”.
Or, de quoi parle-t-on quant au “vote sanction” ? Lorsque l’électeur vote pour le candidat “X” dans le seul but de sanctionner “Y”, peut-on toujours parler de “vote” ? N’est-on pas, à l’inverse, en face d’une forme de négation du vote lui-même ? Et de là à en conclure qu’un tel “vote” est en somme une manifestation claire de rejet du système électoral et même de la “démocratie” représentative dans leur principe, il n’y a qu’un pas, que nous n’hésitons pas à franchir !
Une fois là, l’on peut se questionner : ces électeurs démissionnaires, déçus de la “démocratie” représentative, sont-ils pour autant perdus pour la démocratie directe participative ? Certainement pas ! Est-ce prétention de l’affirmer ? Il en résulte qu’il n’est pas incongru de tenter de cerner leur nombre.
Les enquêtes donnent des indications qui oscillent, pour le vote sanction, dans des proportions telles (de 10 à 70% !) qu’on peut difficilement les prendre en référence*. Tout dépend en effet de l’élection considérée, du profil politique des enquêtés et bien entendu des candidats considérés.
Nous retiendrons donc, quant à nous, la fourchette basse de 10% des votants pour calculer le nombre de votes sanction, et nous nommerons cette seconde variable : “S”.
Or, de quoi parle-t-on quant au “vote sanction” ? Lorsque l’électeur vote pour le candidat “X” dans le seul but de sanctionner “Y”, peut-on toujours parler de “vote” ? N’est-on pas, à l’inverse, en face d’une forme de négation du vote lui-même ? Et de là à en conclure qu’un tel “vote” est en somme une manifestation claire de rejet du système électoral et même de la “démocratie” représentative dans leur principe, il n’y a qu’un pas, que nous n’hésitons pas à franchir !
Une fois là, l’on peut se questionner : ces électeurs démissionnaires, déçus de la “démocratie” représentative, sont-ils pour autant perdus pour la démocratie directe participative ? Certainement pas ! Est-ce prétention de l’affirmer ? Il en résulte qu’il n’est pas incongru de tenter de cerner leur nombre.
Les enquêtes donnent des indications qui oscillent, pour le vote sanction, dans des proportions telles (de 10 à 70% !) qu’on peut difficilement les prendre en référence*. Tout dépend en effet de l’élection considérée, du profil politique des enquêtés et bien entendu des candidats considérés.
Nous retiendrons donc, quant à nous, la fourchette basse de 10% des votants pour calculer le nombre de votes sanction, et nous nommerons cette seconde variable : “S”.
* L’enquête en ligne de MaDemocratie.FR nous en dira plus dans quelques mois…
E comme Espoir politique
Notre troisième variable est l’espoir. Comme partout en effet, la politique à Saint-Maurice-de-Beynost s’alimente aussi d’espoir. La politique, au sens premier du terme, permet de conceptualiser l’environnement social, le représenter et – finalement ? –, lui donner forme. Elle est, en cela, d’abord l’action de l’esprit, voire de l’imagination.
Il est donc logique de retenir l’espérance que peut faire naître un projet de démocratie réelle, participative et directe, pour le comptage de ses sympathisants éventuels. Ceci, d’autant plus que les ternes futurs de la “démocratie” représentative, véritable “démocratie de l’impasse”, n’engendrent, à l’inverse, que désespérance et résignation.
En conséquence de quoi nous retiendrons, là-encore prudemment, 10% des votants sous la référence “E” comme Espoir.
Il est donc logique de retenir l’espérance que peut faire naître un projet de démocratie réelle, participative et directe, pour le comptage de ses sympathisants éventuels. Ceci, d’autant plus que les ternes futurs de la “démocratie” représentative, véritable “démocratie de l’impasse”, n’engendrent, à l’inverse, que désespérance et résignation.
En conséquence de quoi nous retiendrons, là-encore prudemment, 10% des votants sous la référence “E” comme Espoir.
R comme Réalisme politique’
Comme l’écrivait Marcel Pagnol : “Avec un porte-plume, c’est facile de faire des multiplications et des lapins.” (Jean de Florette). Nous ne tomberons pas dans ce piège !
Si l’on se contentait de nos trois variables A + S + E, l’on obtiendrait, peu ou prou 60% des inscrits comme sympathisants potentiels pour la démocratie directe à Saint-Maurice-de-Beynost (+/- 50% des électeurs inscrits s’abstenant pour A, B et C étant basées sur les votants et non les inscrits). Évidemment, ce serait aller un peu vite en besogne…
Restons donc réalistes et ne retenons que le quart d’entre-eux, à savoir 20 à 25% du corps électoral potentiel (les inscrits). Approximativement un sur quatre. À Saint-Maurice-de-Beynost, le nombre d’inscrits étant de 2804, nous en déduisons que 641 électeurs sont de potentiels sympathisants du mouvement pour la démocratie directe participative !
Si l’on se contentait de nos trois variables A + S + E, l’on obtiendrait, peu ou prou 60% des inscrits comme sympathisants potentiels pour la démocratie directe à Saint-Maurice-de-Beynost (+/- 50% des électeurs inscrits s’abstenant pour A, B et C étant basées sur les votants et non les inscrits). Évidemment, ce serait aller un peu vite en besogne…
Restons donc réalistes et ne retenons que le quart d’entre-eux, à savoir 20 à 25% du corps électoral potentiel (les inscrits). Approximativement un sur quatre. À Saint-Maurice-de-Beynost, le nombre d’inscrits étant de 2804, nous en déduisons que 641 électeurs sont de potentiels sympathisants du mouvement pour la démocratie directe participative !
À Saint-Maurice-de-Beynost, politique et démocratie font un “jeu sérieux”
« Un jeu sérieux (de l’Anglais serious game : serious, « sérieux » et game, « jeu ») est une activité qui combine une intention « sérieuse » — de type pédagogique, informative, communicationnelle, marketing, idéologique ou d’entraînement — avec des ressorts ludiques. De manière synthétique, un jeu sérieux englobe tous les jeux de société, jeux de rôle et jeux vidéo qui s’écartent du seul divertissement. » (Wikipedia)
Le jeu politique consiste sur LeMoove.FR à se projeter dans un univers de politique fiction autorisant chaque joueur – ici chaque citoyen –, de prendre une part directe dans la formation de la décision publique, c’est-à-dire politique. Il pourrait également veiller à son application en disposant de capacités de sanction de l’administration étatique dans toutes ses dimensions, à la fois gouvernementales et judiciaires. Nous avons donc un jeu de rôle dans lequel tout joueur peut être, tour à tour, citoyen, député ou sénateur, ministre ou président, juge ou policier, etc. etc.
Le jeu politique consiste sur LeMoove.FR à se projeter dans un univers de politique fiction autorisant chaque joueur – ici chaque citoyen –, de prendre une part directe dans la formation de la décision publique, c’est-à-dire politique. Il pourrait également veiller à son application en disposant de capacités de sanction de l’administration étatique dans toutes ses dimensions, à la fois gouvernementales et judiciaires. Nous avons donc un jeu de rôle dans lequel tout joueur peut être, tour à tour, citoyen, député ou sénateur, ministre ou président, juge ou policier, etc. etc.
Les 5 dimensions du jeu politique “Le Moove”
1 – Le jeu des “Maladies de la Démocratie”
La démocratie est très fatiguée. Tout le monde semble en convenir sans difficulté.
Cela dit, nous sommes peu nombreux à avoir posé un diagnostic précis sur sa maladie. De quoi souffre-t-elle ? Est-ce une infestation ? Est-ce un cancer ? Quels sont les symptômes du mal ? Comment les identifier ? Et peut-on la traiter ? Et si oui, de quelle manière ? Avec quels remèdes ?
Le jeu des maladies de la démocratie devrait nous permettre de répondre collectivement à ces questions, et au-delà, de répondre peut-être à une autre question : est-ce la démocratie qui dépérit, ou est-ce seulement la ” “démocratie” représentative ” ? Car évidemment, dans le second cas, il faudrait d’abord pouvoir admettre que la démocratie puisse être représentative… Le débat est ouvert. C’est un forum politique. Nous proposons déjà une vingtaine de symptômes pour débuter la partie…
Cela dit, nous sommes peu nombreux à avoir posé un diagnostic précis sur sa maladie. De quoi souffre-t-elle ? Est-ce une infestation ? Est-ce un cancer ? Quels sont les symptômes du mal ? Comment les identifier ? Et peut-on la traiter ? Et si oui, de quelle manière ? Avec quels remèdes ?
Le jeu des maladies de la démocratie devrait nous permettre de répondre collectivement à ces questions, et au-delà, de répondre peut-être à une autre question : est-ce la démocratie qui dépérit, ou est-ce seulement la ” “démocratie” représentative ” ? Car évidemment, dans le second cas, il faudrait d’abord pouvoir admettre que la démocratie puisse être représentative… Le débat est ouvert. C’est un forum politique. Nous proposons déjà une vingtaine de symptômes pour débuter la partie…
2 – Le jeu des “Voting Machines”
La politique, c’est un jardin d’idées. Elles y éclosent avec empressement, l’une chassant l’autre en moins de temps qu’il en faudrait pour l’actionner, lui donner vie. C’est ainsi que les idées vraiment novatrices en politique meurent avant même d’avoir vécu. Seules en réchappent celles qui ne font, au final, qu’en renforcer une ancienne, déjà vue, souvent même rebattue à l’infini.
La démocratie est de ces idées-là. Elle ne se renouvelle plus, elle se perpétue dans un déguisement, une maladie congénitale : la représentativité. L’idée nouvelle de la démocratie serait la démocratie elle-même. La vraie. La seule. Nue. Brute. Celle du “gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple” ; celle de “démocratie réelle”. Mais les idées nouvelles font peur à l’homme. Tout ce qui est nouveau l’effraie. C’est dangereux pour son besoin fondamental de sécurité. Alors il se donne des “représentants”, l’homme.
Il n’en reste pas moins qu’au fond du tunnel sombre de l’histoire humaine, les vieilles idées finissent aussi par périr. C’est inéluctable. Et la “représentativité”, justement, est à l’agonie. Peut-être même est-elle déjà morte, comment être sûr ?
Il y a bien un moyen pourtant, et c’est de tester l’idée nouvelle qui va s’y substituer. Formulé autrement : tester l’idée de “démocratie réelle” ! Mesurer sa sa vivacité, évaluer sa notoriété. Mais la démocratie réelle est une idée bien trop vaste pour être mise tout entière sur le métier. Il faut donc la découper en petits morceaux et travailler d’abord chacun d’eux. Et encore faut-il le faire progressivement…
C’est le moyen qu’offre ce jeu des “Voting Machines”. Tester des petits morceaux de la grande idée de démocratie réelle, un à un, petit à petit, pour ne garder que ceux “dont le temps est venu”. C’est une sorte de tamis à trois grilles que ce jeu politique : au premier niveau, la grille est à larges trous. C’est le sondage. Chacun peut y soumettre n’importe quelle idée.
Au second niveau, le diamètre des trous se réduit, c’est le tamis de la pétition politique. Seules les idées qui ont passé la première grille peuvent y être soumises.
Enfin, au troisième niveau, où l’on n’admet que les idées qui ont passé les deux premiers filtres, c’est le référendum. Le R.I.C. en réalité (Référendum d’Initiative Citoyenne).
En procédant de cette manière, l’on augmente la probabilité de gagner la partie.
La démocratie est de ces idées-là. Elle ne se renouvelle plus, elle se perpétue dans un déguisement, une maladie congénitale : la représentativité. L’idée nouvelle de la démocratie serait la démocratie elle-même. La vraie. La seule. Nue. Brute. Celle du “gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple” ; celle de “démocratie réelle”. Mais les idées nouvelles font peur à l’homme. Tout ce qui est nouveau l’effraie. C’est dangereux pour son besoin fondamental de sécurité. Alors il se donne des “représentants”, l’homme.
Il n’en reste pas moins qu’au fond du tunnel sombre de l’histoire humaine, les vieilles idées finissent aussi par périr. C’est inéluctable. Et la “représentativité”, justement, est à l’agonie. Peut-être même est-elle déjà morte, comment être sûr ?
Il y a bien un moyen pourtant, et c’est de tester l’idée nouvelle qui va s’y substituer. Formulé autrement : tester l’idée de “démocratie réelle” ! Mesurer sa sa vivacité, évaluer sa notoriété. Mais la démocratie réelle est une idée bien trop vaste pour être mise tout entière sur le métier. Il faut donc la découper en petits morceaux et travailler d’abord chacun d’eux. Et encore faut-il le faire progressivement…
C’est le moyen qu’offre ce jeu des “Voting Machines”. Tester des petits morceaux de la grande idée de démocratie réelle, un à un, petit à petit, pour ne garder que ceux “dont le temps est venu”. C’est une sorte de tamis à trois grilles que ce jeu politique : au premier niveau, la grille est à larges trous. C’est le sondage. Chacun peut y soumettre n’importe quelle idée.
Au second niveau, le diamètre des trous se réduit, c’est le tamis de la pétition politique. Seules les idées qui ont passé la première grille peuvent y être soumises.
Enfin, au troisième niveau, où l’on n’admet que les idées qui ont passé les deux premiers filtres, c’est le référendum. Le R.I.C. en réalité (Référendum d’Initiative Citoyenne).
En procédant de cette manière, l’on augmente la probabilité de gagner la partie.
3 – Le jeu de la Constitution pour une République Citoyenne
Ici, nous créons ensemble la nouvelle constitution pour la République Citoyenne de France (RCF). Il va de soi que cette république sera placée sous le régime de la démocratie réelle (directe). Conséquemment, il s’agit donc ici, dans ce jeu, de se donner le rôle de constituant (et même un peu de constitutionnaliste !) et d’essayer d’anticiper toutes les situations de la vie politique et sociale du pays, la nouvelle constitution ayant vocation à permettre le fonctionnement fluide des institutions.
En effet, la constitution est la loi suprême qui précise les principes fondamentaux de l’État et définit les droits et les devoirs de chacun. Elle sert de base à la structuration politique et institutionnelle du pays en définissant la forme du gouvernement, les pouvoirs et les responsabilités de chacune de ses composantes, ainsi que les droits fondamentaux des individus. C’est le texte fondamental qui détermine la stabilité et la pérennité des institutions. Loi suprême, tous les autres textes doivent être conformes à ses dispositions.
Par ailleurs, la constitution joue un rôle essentiel dans la garantie des droits et libertés pour les citoyens. Elle établit les principes de l’État de droit, garantit l’égalité devant la loi, et protège les libertés fondamentales telles que la liberté d’expression, la liberté de religion et la liberté d’association.
Elle établit également les mécanismes de contrôle et d’équilibre entre les différents pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire), afin d’éviter les abus et de garantir le respect de ses droits à chaque citoyen.
En effet, la constitution est la loi suprême qui précise les principes fondamentaux de l’État et définit les droits et les devoirs de chacun. Elle sert de base à la structuration politique et institutionnelle du pays en définissant la forme du gouvernement, les pouvoirs et les responsabilités de chacune de ses composantes, ainsi que les droits fondamentaux des individus. C’est le texte fondamental qui détermine la stabilité et la pérennité des institutions. Loi suprême, tous les autres textes doivent être conformes à ses dispositions.
Par ailleurs, la constitution joue un rôle essentiel dans la garantie des droits et libertés pour les citoyens. Elle établit les principes de l’État de droit, garantit l’égalité devant la loi, et protège les libertés fondamentales telles que la liberté d’expression, la liberté de religion et la liberté d’association.
Elle établit également les mécanismes de contrôle et d’équilibre entre les différents pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire), afin d’éviter les abus et de garantir le respect de ses droits à chaque citoyen.
4 – Le jeu du Gouvernement Démocratique
Dans ce jeu de politique fiction, les joueurs précisent la nature du gouvernement démocratique qu’ils envisagent – ou non – se donner.La mise en place d’un gouvernement est-elle nécessaire dans une démocratie réelle et directe ?
Cette question ouvre un débat complexe et passionné parmi les penseurs politiques et les citoyens engagés.
Certains pensent que la démocratie directe, où les citoyens dictent eux-mêmes les décisions politiques, n’a nul besoin de gouvernement centralisé. De leur point de vue, les assemblées populaires et autres conventions citoyennes et les référendums (RIP, RIC…) peuvent suffire à assurer une prise de décision collective et équitable.
Cela dit, certains estiment qu’un gouvernement central est indispensable pour harmoniser l’action politique, déployer les politiques publiques et garantir stabilité et sécurité de la société.
Une démocratie réelle et directe peut fonctionner sans un gouvernement traditionnel, mais cela ne signifie pas qu’elle peut se priver de toute forme de gouvernance. En lieu et place d’un gouvernement centralisé, une démocratie directe peut s’appuyer sur des structures décentralisées et participatives. Par exemple, des conseils locaux ou des assemblées de quartier peuvent être mis en œuvre pour permettre aux citoyens de discuter et de décider des questions qui les concernent au premier chef. Ces organes de gouvernance au plus proche du citoyen peuvent ensuite être reliés entre eux par des réseaux de communication et de coordination pour assurer une prise de décision collective à l’échelle nationale.
Il importe de noter par ailleurs que la mise en place d’un gouvernement dans une démocratie réelle et directe n’implique pas inévitablement un retour à un système politique centralisé et hiérarchique. De fait, un gouvernement dans ce contexte politique pourrait se concevoir de façon à être transparent, responsable et redevable envers les citoyens, et donc révocable. Il se verrait composé de représentants élus et/ou tirés au sort par les assemblées populaires, lesquels représentants seraient missionnés pour mettre en œuvre les décisions prises collectivement. Ils seraient en même temps soumis à des mécanismes de contrôle et de reddition de comptes stricts et objectifs dans le but d’ éviter les abus de pouvoir et la corruption, et garantir la participation citoyenne sur le long terme dans le processus politique de la décision publique.
Le jeu du gouvernement démocratique devrait aussi permettre de démontrer que les risques de dictature de la majorité d’une part, et le risque de lenteur du processus de décision politique d’autre part, souvent mobilisés par les détracteurs de la démocratie réelle et directe, sont de faux problèmes.
En effet, pour le premier, la démocratie réelle est dotée, davantage encore que la “démocratie” représentative, d’une dynamique qui autorise de changer les orientations politiques aussi souvent que nécessaire, et par ailleurs l’un de ses principes fondamentaux consiste justement dans le respect des minorités.
Pour le second, participer au jeu devrait amener les joueurs à prendre conscience du caractère impérieux d’un formalisme rigoureux et rationnel dans les processus de décision en démocratie directe. Or, qui dit “formalisme” dit “peu, voire pas de marge de manœuvre (d’interprétation)”. Donc… plus de vélocité et d’efficacité !
Cette question ouvre un débat complexe et passionné parmi les penseurs politiques et les citoyens engagés.
Certains pensent que la démocratie directe, où les citoyens dictent eux-mêmes les décisions politiques, n’a nul besoin de gouvernement centralisé. De leur point de vue, les assemblées populaires et autres conventions citoyennes et les référendums (RIP, RIC…) peuvent suffire à assurer une prise de décision collective et équitable.
Cela dit, certains estiment qu’un gouvernement central est indispensable pour harmoniser l’action politique, déployer les politiques publiques et garantir stabilité et sécurité de la société.
Une démocratie réelle et directe peut fonctionner sans un gouvernement traditionnel, mais cela ne signifie pas qu’elle peut se priver de toute forme de gouvernance. En lieu et place d’un gouvernement centralisé, une démocratie directe peut s’appuyer sur des structures décentralisées et participatives. Par exemple, des conseils locaux ou des assemblées de quartier peuvent être mis en œuvre pour permettre aux citoyens de discuter et de décider des questions qui les concernent au premier chef. Ces organes de gouvernance au plus proche du citoyen peuvent ensuite être reliés entre eux par des réseaux de communication et de coordination pour assurer une prise de décision collective à l’échelle nationale.
Il importe de noter par ailleurs que la mise en place d’un gouvernement dans une démocratie réelle et directe n’implique pas inévitablement un retour à un système politique centralisé et hiérarchique. De fait, un gouvernement dans ce contexte politique pourrait se concevoir de façon à être transparent, responsable et redevable envers les citoyens, et donc révocable. Il se verrait composé de représentants élus et/ou tirés au sort par les assemblées populaires, lesquels représentants seraient missionnés pour mettre en œuvre les décisions prises collectivement. Ils seraient en même temps soumis à des mécanismes de contrôle et de reddition de comptes stricts et objectifs dans le but d’ éviter les abus de pouvoir et la corruption, et garantir la participation citoyenne sur le long terme dans le processus politique de la décision publique.
Le jeu du gouvernement démocratique devrait aussi permettre de démontrer que les risques de dictature de la majorité d’une part, et le risque de lenteur du processus de décision politique d’autre part, souvent mobilisés par les détracteurs de la démocratie réelle et directe, sont de faux problèmes.
En effet, pour le premier, la démocratie réelle est dotée, davantage encore que la “démocratie” représentative, d’une dynamique qui autorise de changer les orientations politiques aussi souvent que nécessaire, et par ailleurs l’un de ses principes fondamentaux consiste justement dans le respect des minorités.
Pour le second, participer au jeu devrait amener les joueurs à prendre conscience du caractère impérieux d’un formalisme rigoureux et rationnel dans les processus de décision en démocratie directe. Or, qui dit “formalisme” dit “peu, voire pas de marge de manœuvre (d’interprétation)”. Donc… plus de vélocité et d’efficacité !
5 – Le jeu du Parti politique de Nouvelle Génération
Le but de ce jeu c’est d’inventer le parti politique de l’avenir que sera notamment le MDDP (Mouvement Démocratie Directe Participative – Le Moove).
À quoi servirait un parti politique dans une démocratie réelle et directe où les délégués du peuple ne seraient plus élus mais tirés au sort ? Un parti politique qui “ne prendrait pas parti” pourrait-il encore se justifier ? Autrement dit, un parti politique sans autre programme que celui de favoriser la démocratie et défendre les intérêts des citoyens serait-il viable ?
Dans une démocratie directe où les représentants du peuple seraient tirés au sort, les partis politiques pourraient malgré tout se voir attribuer un rôle de premier plan en tant qu’organisations facilitant la participation politique et la représentation des citoyens.
En effet, bien que les représentants soient désignés au hasard, les partis politiques pourraient servir de plateforme permettant aux citoyens de débattre des problèmes et de construire des propositions politiques consensuelles. Ils animeraient des débats, des conférences et des campagnes d’information citoyenne sur les différentes propositions politiques et les conséquences des choix. Ils joueraient également un rôle non négligeable dans la mobilisation des électeurs et la sensibilisation aux enjeux politiques, contribuant ainsi à la formation d’une opinion publique éclairée.
En outre, les partis politiques pourraient jouer un rôle de médiation et devenir, à l’instar des syndicats dans le domaine social, le corps intermédiaire du politique entre les citoyens et leurs représentants tirés au sort. Ils formeraient ainsi un canal de communication entre les citoyens et les représentants, en recueillant les préoccupations et les demandes des premiers et en les transmettant aux seconds. Les partis politiques pourraient également aider à coordonner les actions des représentants et à faciliter la prise de décision collective.
En agissant en tant qu’intermédiaires, les partis politiques pourraient contribuer à renforcer la légitimité et l’efficacité du système démocratique dans une démocratie réelle et directe.
Tout ce qui précède étant posé, il n’en subsiste pas moins que le parti politique de l’avenir pourra se réclamer d’une idéologie. Le Moove, par exemple, revendique celle de l’humanisme démocratique. C’est dire clairement qu’il met l’Homme et les valeurs humanistes des Lumières au centre du système démocratique, avant de pouvoir y inclure toute dimension matérialiste…
À quoi servirait un parti politique dans une démocratie réelle et directe où les délégués du peuple ne seraient plus élus mais tirés au sort ? Un parti politique qui “ne prendrait pas parti” pourrait-il encore se justifier ? Autrement dit, un parti politique sans autre programme que celui de favoriser la démocratie et défendre les intérêts des citoyens serait-il viable ?
Dans une démocratie directe où les représentants du peuple seraient tirés au sort, les partis politiques pourraient malgré tout se voir attribuer un rôle de premier plan en tant qu’organisations facilitant la participation politique et la représentation des citoyens.
En effet, bien que les représentants soient désignés au hasard, les partis politiques pourraient servir de plateforme permettant aux citoyens de débattre des problèmes et de construire des propositions politiques consensuelles. Ils animeraient des débats, des conférences et des campagnes d’information citoyenne sur les différentes propositions politiques et les conséquences des choix. Ils joueraient également un rôle non négligeable dans la mobilisation des électeurs et la sensibilisation aux enjeux politiques, contribuant ainsi à la formation d’une opinion publique éclairée.
En outre, les partis politiques pourraient jouer un rôle de médiation et devenir, à l’instar des syndicats dans le domaine social, le corps intermédiaire du politique entre les citoyens et leurs représentants tirés au sort. Ils formeraient ainsi un canal de communication entre les citoyens et les représentants, en recueillant les préoccupations et les demandes des premiers et en les transmettant aux seconds. Les partis politiques pourraient également aider à coordonner les actions des représentants et à faciliter la prise de décision collective.
En agissant en tant qu’intermédiaires, les partis politiques pourraient contribuer à renforcer la légitimité et l’efficacité du système démocratique dans une démocratie réelle et directe.
Tout ce qui précède étant posé, il n’en subsiste pas moins que le parti politique de l’avenir pourra se réclamer d’une idéologie. Le Moove, par exemple, revendique celle de l’humanisme démocratique. C’est dire clairement qu’il met l’Homme et les valeurs humanistes des Lumières au centre du système démocratique, avant de pouvoir y inclure toute dimension matérialiste…