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Politique et démocratie à Dompierre-sur-Chalaronne, Ain

Politique et démocratie à Dompierre-sur-Chalaronne pourraient bien changer avec l’arrivée du Moove. Le Mouvement Démocratie Directe Participative y compte déjà 71 sympathisants potentiels !

À Dompierre-sur-Chalaronne, la vie politique prend un autre sens sens avec Le Moove

Avec un nombre estimé de 71 sympathisants à Dompierre-sur-Chalaronne, le Mouvement Démocratie Directe Participative (M.D.D.P. Le Moove) pourrait bien devenir une force efficace quand il s’agit de porter remède à la crise inhérente à la “démocratie” représentative.

71 sympathisants du MDDP et de la démocratie directe à Dompierre-sur-Chalaronne ?

En effet, c’est le résultat auquel on parvient par le raisonnement suivant :

A comme Abstention en politique

Premièrement, l’abstention aux élections en France n’est pas, contrairement à l’idée reçue, le premier parti de France.
En effet, la recherche en matière électorale indique que le profil des “déserteurs” de scrutins varie d’une élection à l’autre. Il est donc peu opportun de les additionner dans un mouvement politique fictif.
Cependant, les scores de l’abstention ne cessent de monter pour se situer aujourd’hui, grosso-modo à 50% du corps électoral. En conséquence, c’est un électeur sur deux qui se prive ainsi de son droit de vote !
Pour Dompierre-sur-Chalaronne, cela fait un total de 142. Conservons ce chiffre en mémoire, et nommons-le : “A”, comme Abstentionnistes.

S comme Sanction politique

Pour continuer, et en observant, maintenant, les présents (votants), il est de nos jours incontesté qu’une partie d’entre-eux pratiquent ce qu’on appelle “le vote sanction”.
Or, qu’entend-on par “vote sanction” ? Quand un électeur vote pour le candidat “X” dans le seul but de sanctionner “Y”, peut-on encore utiliser le mot “vote” ? N’est-on pas, dans ce cas, en face d’une sorte de dénégation du vote lui-même ? Et de là à en conclure qu’un tel “vote” représente en fait une manifestation explicite de rejet du système électoral et même de la “démocratie” représentative dans leur principe, il n’y a qu’un pas, que nous n’hésitons pas à franchir !
Une fois rendu là l’on peut se poser la question suivante : ces électeurs démissionnaires, perdus pour la “démocratie” représentative, sont-ils pour autant perdus pour la démocratie directe participative ? Certainement pas ! Est-ce prétention de l’affirmer ? Il résulte de ce qui précède qu’il n’est pas inopportun de tenter de les compter.
Les sondages fournissent des résultats qui varient, pour le vote sanction, dans dans des proportions si considérables (de 10 à 70% !) qu’on peut difficilement s’y référer*. Tout dépend en effet de l’élection envisagée, du profil politique des enquêtés et bien entendu des candidats considérés.
Nous réserverons donc, quant à nous, la fourchette basse de 10% des votants pour calculer le nombre de votes sanction, et nous nommerons cette seconde variable : “S”.

* L’enquête en ligne de MaDemocratie.FR nous en dira plus dans quelques mois…

E comme Espoir politique

Notre troisième variable sera l’espoir. Comme partout en effet, la politique à Dompierre-sur-Chalaronne est aussi nourrie d’espérance. La politique, au sens premier du terme, permet de penser le monde, le représenter et – au final ? –, le construire. Elle est, en cela, d’abord le fruit de l’esprit, voire de l’imagination.
Il est donc logique de tenir compte de l’espoir que peut faire naître un projet de démocratie réelle, directe, pour compter ses sympathisants potentiels. Ceci, d’autant plus que les lendemains sombres de la “démocratie” représentative, véritable “démocratie de l’impasse”, n’engendrent, à l’opposé, que désespoir et résignation.
En conséquence de quoi nous réserverons, là-encore avec prudence, 10% des votants sous la référence “E” comme Espoir.

R comme Réalisme politique’

Comme l’écrivait Marcel Pagnol : “Avec un porte-plume, c’est facile de faire des multiplications et des lapins.” (Jean de Florette). Nous ne tomberons pas dans ce piège !
Si l’on s’arrêtait à nos trois variables A + S + E, l’on obtiendrait, à peu près 60% des inscrits comme sympathisants potentiels pour la démocratie directe à Dompierre-sur-Chalaronne (+/- 50% des électeurs inscrits s’abstenant pour A, B et C étant basées sur les votants et non les inscrits). Évidemment, ce serait aller un peu vite en besogne…
Restons donc réalistes et ne comptons que le quart d’entre-eux, à savoir 20 à 25% du corps électoral potentiel (les inscrits). “À grands traits”, un sur quatre. À Dompierre-sur-Chalaronne, le nombre d’inscrits étant de 312, nous en déduisons que 71 électeurs sont de potentiels sympathisants du mouvement pour la démocratie directe participative !

À Dompierre-sur-Chalaronne, politique et démocratie font un “jeu sérieux”

« Un jeu sérieux (de l’Anglais serious game : serious, « sérieux » et game, « jeu ») est une activité qui combine une intention « sérieuse » — de type pédagogique, informative, communicationnelle, marketing, idéologique ou d’entraînement — avec des ressorts ludiques. De manière synthétique, un jeu sérieux englobe tous les jeux de société, jeux de rôle et jeux vidéo qui s’écartent du seul divertissement. » (Wikipedia)
Le jeu politique consiste sur ce site à se projeter dans un univers de politique fiction accordant le droit à chaque joueur – en réalité chaque citoyen –, de participer directement à la formation de la décision publique, c’est-à-dire politique. Il pourrait également veiller à son application en disposant de capacités de sanction de l’administration étatique dans toutes ses dimensions, à la fois gouvernementales et judiciaires. Il s’agit donc un jeu de rôle dans lequel tout joueur peut être, selon son humeur, citoyen, député ou sénateur, ministre ou président, juge ou policier, et ainsi de suite…

Les 5 dimensions du jeu politique “Le Moove”

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1 – Le jeu des “Maladies de la Démocratie”

La démocratie est souffreteuse. Tout le monde paraît en convenir sans difficulté.
Hélas, nous sommes peu nombreux à avoir posé un diagnostic précis sur son état de santé. Quelle est cette maladie ? Est-ce une infection ? Est-ce un cancer ? Quels sont les symptômes du mal ? Comment les repérer ? Et peut-on la traiter ? Et si oui, comment ? Avec quels remèdes ?
Le jeu des maladies de la démocratie devrait nous aider à répondre collectivement à ces questions, et au-delà, de répondre peut-être à une autre question : est-ce la démocratie qui est malade, ou est-ce seulement la ” “démocratie” représentative ” ? Car évidemment, dans le second cas, il faudrait d’abord pouvoir accorder que la démocratie puisse être représentative… Le débat est lancé. C’est un forum politique. Nous proposons déjà une vingtaine de symptômes pour engager la partie…
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2 – Le jeu des “Voting Machines”

La politique, c’est le monde des idées. Elles y éclosent avec empressement, l’une chassant l’autre en moins de temps qu’il en faudrait pour l’appliquer, lui donner vie. C’est ce qui fait que les idées vraiment novatrices en politique meurent avant même d’avoir vécu. Seules en réchappent celles qui ne font, au final, qu’en renforcer une ancienne, déjà vue, souvent même fatiguée comme une vieille rosse.
La démocratie est de celles-là. Elle ne se renouvelle plus, elle se perpétue dans un artéfact, une faiblesse originelle : la représentativité. L’idée nouvelle de la démocratie serait la démocratie elle-même. La vraie. La seule. Nue. Brute. Celle du “gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple” ; celle de “démocratie réelle”. Mais les idées nouvelles font peur à l’homme. Tout ce qui est nouveau le terrorise. C’est contre son besoin fondamental de sécurité. Alors il se donne des “représentants”, l’homme.
Il n’en reste pas moins qu’au fond du tunnel sombre de l’histoire, les vieilles idées finissent aussi par périr. C’est inéluctable. Et la “représentativité”, justement, est à l’agonie. Peut-être même est-elle déjà morte, comment le savoir ?
Il y a peut-être un moyen cependant, et c’est celui qui consiste à tester l’idée nouvelle qui va la remplacer. Autrement dit : tester l’idée de “démocratie réelle” ! Mesurer sa sa vitalité, évaluer son acceptation. Mais la démocratie réelle est une idée bien trop lourde pour être mise tout d’un coup sur le métier. Il faut donc la découper en petits morceaux et travailler d’abord chacun d’eux. Et encore faut-il le faire progressivement…
C’est le moyen qu’offre ce jeu des “Voting Machines”. Tester de petits échantillons de la grande idée de démocratie réelle, un à un, petit à petit, pour ne garder que ceux “dont le temps est venu”. C’est une sorte de tamis à trois grilles que ce jeu politique : au premier niveau, la grille est à larges trous. C’est le sondage. Chacun peut y soumettre n’importe quelle idée.
Au second niveau, le diamètre des trous se resserre, c’est le tamis de la pétition politique. Seules les idées qui ont passé la première grille peuvent y être soumises.
Enfin, au troisième niveau, où l’on n’admet que les idées qui ont passé les deux premiers filtres, c’est le référendum. Le R.I.C. en réalité (Référendum d’Initiative Citoyenne).
En procédant de cette façon, l’on s’assure de gagner la partie.
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3 – Le jeu de la Constitution pour une République Citoyenne

Dans cette partie, les participants créent ensemble la nouvelle constitution pour la République Citoyenne de France (RCF). Il va de soi que cette république sera placée sous le régime de la démocratie directe. Conséquemment, il s’agit donc ici, dans ce jeu, de se faire constituant (et même un peu de constitutionnaliste !) et d’essayer d’anticiper toutes les situations de la vie politique et sociale du pays, la nouvelle constitution devant garantir le fonctionnement harmonieux des institutions.
Au-delà, la constitution est la loi suprême qui précise les principes fondamentaux de l’État et définit les droits et les devoirs des citoyens. Elle sert de base à la structuration politique et institutionnelle du pays en définissant les modalités de son gouvernement, les pouvoirs et les responsabilités de chacune de ses composantes, ainsi que les droits fondamentaux des individus. C’est le texte fondamental qui détermine la stabilité et la pérennité des institutions. Loi suprême, toutes les autres lois doivent se conformer à ses dispositions.
Soulignons encore que la constitution joue un rôle premier dans la garantie des droits et libertés pour les citoyens. Elle pose les principes de l’État de droit, garantit l’égalité devant la loi, et protège les libertés fondamentales telles que la liberté d’expression, la liberté de religion et la liberté d’association.
Elle établit également les mécanismes de contrôle et d’équilibre entre les différents pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire), dans le but d’éviter les abus et de garantir le respect des droits de tous les citoyens.
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4 – Le jeu du Gouvernement Démocratique

Dans cette partie du jeu politique, les joueurs cherchent à préciser le genre de gouvernement démocratique qu’ils veulent – ou non – constituer.La mise en place d’un gouvernement est-elle incontournable dans le contexte politique d’une démocratie réelle et directe ?
La question active un débat complexe et passionné parmi les penseurs politiques et les citoyens engagés.
D’aucuns soutiennent que la démocratie directe, où les citoyens forment eux-mêmes la décision publique, peut se passer de gouvernement centralisé. Selon eux, les conventions citoyennes et les référendums (RIP, RIC…) contribuent largement à assurer une prise de décision collective et équitable.
À l’opposé, d’autres estiment qu’un gouvernement central est indispensable pour coordonner l’action politique, déployer les politiques publiques et garantir continuité et sécurité de la société.
Une démocratie réelle et directe peut fonctionner sans un gouvernement traditionnel, mais cela ne signifie pas qu’elle peut se passer de toute forme de gouvernance. À la place d’un gouvernement centralisé, une démocratie directe pourra s’appuyer sur des structures décentralisées et participatives. Par exemple, des conseils locaux ou des assemblées de quartier peuvent être créés pour permettre aux citoyens de discuter et de décider des questions qui les concernent au premier chef. Ces organes de gouvernance locale peuvent ensuite être reliés entre eux par des réseaux de communication et de coordination pour assurer une prise de décision collective à l’échelle nationale.
Il convient de noter par ailleurs que la mise en place d’un gouvernement dans une démocratie réelle et directe n’impose pas obligatoirement un retour à un système politique centralisé et hiérarchique. En effet, un gouvernement dans cette situation politique pourrait être conçu de manière à être transparent, responsable et redevable envers les citoyens, et donc révocable. Il pourrait être composé de représentants élus et/ou tirés au sort par les assemblées populaires, lesquels représentants seraient missionnés pour mettre en œuvre les décisions prises collectivement. Ils seraient par ailleurs soumis à des mécanismes de contrôle et de validation de comptes stricts et objectifs pour éviter les abus de pouvoir et la corruption, et garantir la participation citoyenne continue dans le processus de décision politique.
Le jeu du gouvernement démocratique doit encore permettre de montrer que les risques de dictature de la majorité d’une part, et le risque de lenteur du processus de décision politique collective d’autre part, souvent invoqués par les opposants à la démocratie réelle et directe, sont de faux problèmes.
En effet, pour le premier, la démocratie réelle jouit, davantage encore que la “démocratie” représentative, d’une dynamique qui autorise de changer les orientations politiques aussi souvent que nécessaire, et par ailleurs l’un de ses principes fondamentaux est justement le respect des minorités.
Pour le second, participer au jeu devrait amener les joueurs à prendre conscience du caractère impérieux d’un formalisme rigoureux et rationnel dans les processus de décision en démocratie directe. Or, qui dit “formalisme” dit “peu, voire pas de marge de manœuvre (d’interprétation)”. Donc… plus de vélocité et d’efficacité !
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5 – Le jeu du Parti politique de Nouvelle Génération

Le but de ce jeu consiste àinventer le parti politique de l’avenir que sera notamment le MDDP (Mouvement Démocratie Directe Participative – Le Moove).
À quoi pourrait bien servir un parti politique dans une démocratie réelle et directe où les “représentants” du peuple ne seraient plus élus mais tirés au sort ? Un parti politique qui “ne prendrait pas parti” pourrait-il seulement exister ? Autrement dit, un parti politique sans autre programme que celui de favoriser la démocratie et défendre les intérêts de chaque citoyen serait-il viable ?
En démocratie directe où les représentants du peuple seraient tirés au sort, les partis politiques pourraient néanmoins se voir attribuer un rôle de premier plan en tant qu’organisations facilitant la participation politique et la représentation des citoyens.
En effet, bien que les représentants soient choisis au hasard, les partis politiques pourraient constituer une plateforme permettant aux citoyens de débattre des problèmes et de construire des propositions politiques consensuelles. Ils animeraient des débats, des conférences et des campagnes d’information citoyenne sur les différentes options politiques et les conséquences des choix. Ils joueraient également un rôle déterminant dans la mobilisation des électeurs et la sensibilisation aux enjeux politiques, participant ainsi à la formation d’une opinion publique éclairée.
En outre, les partis politiques pourraient jouer un rôle de médiation et devenir, comme le sont les syndicats dans le domaine social, le corps intermédiaire du politique entre les citoyens et leurs représentants tirés au sort. Ils formeraient de cette façon un canal de communication entre les citoyens et les représentants, en recueillant les préoccupations et les demandes des premiers et en les transmettant aux seconds. Les partis politiques pourraient également aider à coordonner les actions des représentants et à faciliter la prise de décision collective.
En agissant en tant qu’intermédiaires, les partis politiques pourraient contribuer à renforcer la légitimité et l’efficacité du système démocratique dans une démocratie réelle et directe.
Tout ce qui précède étant accepté, il n’en subsiste pas moins que le parti politique du futur pourra se réclamer d’une idéologie. Le Moove, par exemple, revendique celle de l’humanisme démocratique. C’est dire clairement qu’il met l’Homme et les valeurs humanistes des Lumières au centre du système démocratique, avant de pouvoir y inclure toute dimension matérialiste…

Politique et démocratie en France → choisir une autre commune que Dompierre-sur-Chalaronne

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