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Politique et démocratie à Chabestan, Hautes-Alpes

Politique et démocratie à Chabestan pourraient bien changer avec l’arrivée du Moove. Le Mouvement Démocratie Directe Participative y compte déjà 21 sympathisants potentiels !

À Chabestan, la vie politique prend des allures démocratiques avec Le Moove

Avec un nombre estimé de 21 sympathisants à Chabestan, le Mouvement Démocratie Directe Participative (mouvement politque pour la démocratie réelle – Le Moove) semble bien être une alternative politique efficace quand il s’agit de répondre à la situation chaotique de la “démocratie” représentative.

21 adeptes du Moove et de la démocratie réelle à Chabestan ?

De fait, c’est le résultat auquel on arrive par le chemin suivant :

A comme Abstention en politique

Tout d’abord, l’abstention aux élections en France n’est pas, quoiqu’en disent certains, le premier parti de France.
En effet, les études de l’électorat nous montrent que le profil des abstentionnistes varie d’une élection à l’autre. Il est donc peu adroit de les assembler dans un courant politique de pure fiction.
Cela étant, les niveaux de l’abstention ne cessent de monter pour atteindre aujourd’hui, grosso-modo à 50% de l’électorat potentiel. Ce qui signifie que c’est un électeur sur deux qui se départit ainsi de son droit de vote !
Pour Chabestan, cela fait 43. Gardons ce chiffre en mémoire, et nommons-le : “A”, comme Abstentionnistes.

S comme Sanction politique

En deuxième lieu, et en focalisant sur, maintenant, les électeurs actifs, il est aujourd’hui convenu qu’une partie d’entre-eux pratiquent ce qu’on appelle “le vote sanction”.
Or, de quoi parle-t-on quant au “vote sanction” ? Lorsque l’électeur vote pour le candidat “X” dans le seul but de sanctionner “Y”, peut-on encore parler de “vote” ? N’est-on pas, au contraire, en face d’une forme de dénégation du vote lui-même ? Et de là à en conclure qu’un tel “vote” est en réalité une manifestation explicite de rejet du système électoral et même de la “démocratie” représentative dans leur principe, il n’y a qu’un pas, que nous franchissons allègrement !
Une fois là, l’on peut se questionner : ces électeurs démissionnaires, écœurés de “démocratie” représentative, sont-ils pour autant perdus pour la démocratie directe participative ? Certainement pas ! Est-ce prétention de l’affirmer ? Il résulte de ce qui précède qu’il n’est pas inopportun de tenter d’en cerner le nombre.
Les enquêtes donnent des résultats qui oscillent, pour le vote sanction, dans dans des proportions si considérables (de 10 à 70% !) qu’on peut difficilement les prendre en référence*. Tout dépend en effet de l’élection envisagée, du profil politique des répondants et bien entendu des candidats considérés.
Nous retiendrons donc, quant à nous, la fourchette basse de 10% des votants pour calculer le nombre de votes sanction, et nous nommerons cette deuxième variable : “S”.

* L’enquête en ligne de MaDemocratie.FR nous en dira plus dans quelques mois…

E comme Espoir politique

Notre troisième variable sera l’espoir. Comme partout en effet, la politique à Chabestan s’alimente aussi d’espoir. La politique, au sens noble du terme, permet de conceptualiser le monde, l’imaginer et – finalement ? –, le projeter dans une réalité. Elle est, en cela, d’abord le produit de l’esprit, voire de l’imagination.
Il est donc naturel de retenir l’espérance que peut faire naître un projet de démocratie réelle, directe et participative, pour faire le compte de ses sympathisants potentiels. Et ce, d’autant plus que les ternes futurs de la “démocratie” représentative, véritable “démocratie de l’impasse”, n’engendrent, à l’opposé, que désespoir et résignation.
En raison de quoi nous réserverons, là-encore prudemment, 10% des votants sous la référence “E” comme Espoir.

R comme Réalisme politique’

Comme disait Marcel Pagnol : “Avec un porte-plume, c’est facile de faire des multiplications et des lapins.” (Jean de Florette). Nous ne tomberons pas dans ce piège !
Si l’on se contentait de nos trois variables A + S + E, l’on obtiendrait, à peu près 60% des inscrits comme sympathisants potentiels pour la démocratie directe à Chabestan (+/- 50% des électeurs inscrits s’abstenant pour A, B et C étant basées sur les votants et non les inscrits). Évidemment, ce serait aller un peu vite en besogne…
Restons donc réalistes et ne comptons que le quart d’entre-eux, à savoir 20 à 25% du corps électoral potentiel (les inscrits). Soit environ un sur quatre. À Chabestan, le nombre d’inscrits étant de 93, nous en déduisons que 21 électeurs sont de potentiels sympathisants du mouvement pour la démocratie directe participative !

À Chabestan, politique et démocratie font un “jeu sérieux”

« Un jeu sérieux (de l’Anglais serious game : serious, « sérieux » et game, « jeu ») est une activité qui combine une intention « sérieuse » — de type pédagogique, informative, communicationnelle, marketing, idéologique ou d’entraînement — avec des ressorts ludiques. De manière synthétique, un jeu sérieux englobe tous les jeux de société, jeux de rôle et jeux vidéo qui s’écartent du seul divertissement. » (Wikipedia)
Le jeu politique consiste sur LeMoove.FR à se projeter dans une société de politique fiction permettant à chaque participant – ici chaque citoyen –, de contribuer directement à la formation de la décision publique, c’est-à-dire politique. Il serait aussi chargé de veiller à son application en disposant des moyens de contrôle de l’administration étatique dans toutes ses dimensions, à la fois gouvernementales et judiciaires. C’est donc un jeu de rôle dans lequel tout un chacun peut être, selon son choix, citoyen, député ou sénateur, ministre ou président, juge ou policier, et ainsi de suite…

Les 5 dimensions du jeu politique du Mouvement Démocratie Directe Participative

Politique et démocratie en France 2

1 – Le jeu des “Maladies de la Démocratie”

La démocratie est très fatiguée. Tout le monde semble d’accord sur ce point.
Hélas, peu d’entre-nous ont posé un diagnostic précis sur son état de santé. De quoi souffre-t-elle ? Est-ce une fièvre généralisée ? Est-ce un cancer ? Quels sont les symptômes de cette maladie ? Comment les traquer ? Et peut-on la traiter ? Et si oui, comment ? Y a-t-il des remèdes ?
Le jeu des maladies de la démocratie peut nous amener à pouvoir répondre ensemble à ces questions, et au-delà, de répondre peut-être à une autre question : est-ce la démocratie qui va mal, ou est-ce seulement la ” “démocratie” représentative ” ? Car évidemment, dans le second cas, il faudrait d’abord pouvoir admettre que la démocratie puisse être représentative… Le débat est lancé. C’est un forum politique. Nous avons déjà répertorié une vingtaine de symptômes pour démarrer la partie…
Politique et démocratie en France - 3

2 – Le jeu des “Voting Machines”

La politique, c’est l’univers des idées. Elles y jaillissent avec empressement, l’une chassant l’autre en moins de temps qu’il en faudrait pour l’appliquer, lui donner vie. C’est ainsi que les idées vraiment novatrices en politique meurent avant même d’avoir vécu. Seules en réchappent celles qui ne font, au final, qu’en renforcer une ancienne, déjà vue, souvent même rebattue à l’infini.
La démocratie est de celles-là. Elle ne se renouvelle plus, elle se perpétue dans un artéfact, une maladie originelle : la représentativité. L’idée nouvelle de la démocratie serait la démocratie elle-même. La vraie. La seule. Nue. Brute. Celle du “gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple” ; celle de “démocratie réelle”. Mais les idées nouvelles font peur à l’homme. Tout ce qui est nouveau l’effraie. C’est contre son besoin fondamental de sécurité. Alors il se donne des “représentants”, l’homme.
Il n’en reste pas moins qu’au fond du tunnel sombre de l’histoire, les vieilles idées finissent par mourir aussi. C’est inévitable. Et la “représentativité”, justement, est à l’agonie. Peut-être même est-elle déjà morte, comment le savoir ?
Il y a bien un moyen pourtant, et c’est de tester l’idée neuve qui va la remplacer. Autrement dit : tester l’idée de “démocratie réelle” ! Mesurer sa sa vivacité, évaluer son acceptation. Mais la démocratie réelle est une idée bien trop grande pour être mise tout d’un coup sur le métier. Il faut donc la découper en petits morceaux et travailler d’abord chacun d’eux. Et encore faut-il le faire progressivement…
C’est le moyen qu’offre ce jeu des “Voting Machines”. Tester de petits échantillons de la grande idée de démocratie réelle, un à un, petit à petit, pour ne garder que ceux “dont le temps est venu”. C’est une sorte de tamis à trois grilles que ce jeu politique : au premier niveau, la grille est à larges trous. C’est le sondage. Chacun peut y soumettre n’importe quelle idée.
Au second niveau, le diamètre des trous se resserre, c’est le tamis de la pétition politique. Seules les idées qui ont passé la première grille peuvent y être soumises.
Enfin, au troisième niveau, où l’on n’admet que les idées qui ont passé les deux premiers filtres, c’est le référendum. Le R.I.C. en réalité (Référendum d’Initiative Citoyenne).
En procédant de cette manière, l’on se donne plus de chances de gagner la partie.
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3 – Le jeu de la Constitution pour une République Citoyenne

Ici, nous créons ensemble la nouvelle constitution pour la République Citoyenne de France (RCF). Il va de soi que cette république sera placée sous le régime de la démocratie directe. En conséquence, il s’agit donc ici, dans ce jeu, de se donner le rôle de constituant (et même un peu de constitutionnaliste !) et d’essayer de prévoir toutes les situations de la vie politique et sociale du pays, la nouvelle constitution devant garantir le fonctionnement fluide des institutions.
Au-delà, la constitution est la loi suprême qui établit les principes qui garantissent l’État et définit les droits et les devoirs des citoyens. Elle sert de base à l’organisation politique et institutionnelle du pays en définissant les modalités de son gouvernement, les pouvoirs et les responsabilités de chacune de ses branches, ainsi que les droits fondamentaux des individus. C’est le texte fondamental qui garantit la stabilité et la pérennité des institutions. Loi suprême, tous les autres textes doivent être conformes à ses dispositions.
Soulignons encore que la constitution a un rôle essentiel dans la garantie des droits et libertés des citoyens. Elle établit les principes de l’État de droit, garantit l’égalité devant la loi, et protège les libertés fondamentales telles que la liberté d’expression, la liberté de religion et la liberté d’association.
Elle établit également les mécanismes de contrôle et d’équilibre entre les différents pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire), dans le but d’éviter les abus et de garantir le respect de ses droits à chaque citoyen.
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4 – Le jeu du Gouvernement Démocratique

Dans cette partie du jeu politique, les joueurs doivent préciser le type de gouvernement démocratique qu’ils veulent – ou non – se donner.La mise en place d’un gouvernement est-elle indispensable dans le contexte politique d’une démocratie réelle et directe ?
Cette question ouvre un débat complexe et passionné parmi les spécialistes politiques et les citoyens engagés.
Les uns sont convaincus que la démocratie directe, où les citoyens écrivent eux-mêmes les décisions politiques, peut se passer de gouvernement centralisé. De leur point de vue, les assemblées populaires et les référendums (RIP, RIC…) peuvent suffire à assurer une prise de décision collective et équitable.
Cependant, certains estiment qu’un gouvernement central est indispensable pour harmoniser l’action politique, mettre en œuvre les politiques publiques et garantir continuité et sécurité de la société.
Une démocratie réelle et directe peut fonctionner sans un gouvernement traditionnel, mais cela ne signifie pas qu’elle peut faire l’économie de toute instance de gouvernance. Au lieu d’un gouvernement centralisé, une démocratie directe pourra s’appuyer sur des structures décentralisées et participatives. Par exemple, des conseils locaux ou des assemblées de quartier peuvent être mis en œuvre pour permettre aux citoyens de discuter et de décider des questions qui les concernent en premier lieu. Ces organes de gouvernance locale peuvent ensuite être reliés entre eux par des réseaux de communication et de coordination pour assurer une prise de décision collective à l’échelle nationale.
Il est utile de noter par ailleurs que la mise en place d’un gouvernement dans une démocratie réelle et directe ne signifie pas nécessairement un retour à un système politique centralisé et hiérarchique. En effet, un gouvernement dans ce contexte politique pourrait être conçu de façon à être transparent, responsable et redevable envers les citoyens, et donc révocable. Il se verrait composé de représentants élus et/ou tirés au sort par les assemblées populaires, ces représentants étant chargés de mettre en œuvre les décisions prises collectivement. Ils seraient par ailleurs soumis à des mécanismes de contrôle et de validation de comptes stricts et objectifs afin éviter les abus de pouvoir et la corruption, et garantir la participation citoyenne continue dans le processus politique de la décision publique.
Le jeu du gouvernement démocratique doit encore permettre de montrer que les risques de dictature de la majorité d’une part, et le risque de lenteur du processus de décision publique collective d’autre part, souvent invoqués par les pourfendeurs de la démocratie réelle et directe, sont mauvais procès.
En effet, pour le premier, la démocratie réelle bénéficie, plus encore que la “démocratie” représentative, d’une dynamique qui autorise de changer les orientations politiques aussi souvent que nécessaire, et par ailleurs l’un de ses principes fondamentaux consiste justement dans le respect des minorités.
Pour le second, la participation au jeu devrait amener les joueurs à prendre conscience de la nécessité d’un formalisme rigoureux et rationnel dans les processus de décision en démocratie directe. Or, qui dit “formalisme” dit “peu, voire pas de marge de manœuvre (d’interprétation)”. Donc… plus de vélocité et d’efficacité !
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5 – Le jeu du Parti politique de Nouvelle Génération

Le but de ce jeu consiste àinventer le parti politique de l’avenir que sera notamment le MDDP (Mouvement Démocratie Directe Participative – Le Moove).
À quoi pourrait bien servir un parti politique dans une démocratie réelle et directe où les délégués du peuple ne seraient plus élus mais tirés au sort ? Un parti politique qui “ne prendrait pas parti” pourrait-il encore se justifier ? Autrement dit, un parti politique sans autre programme que celui de favoriser la démocratie et défendre les intérêts de chaque citoyen serait-il viable ?
Dans une démocratie directe où les délégués du peuple seraient tirés au sort, les partis politiques pourraient malgré tout avoir un rôle de premier plan en tant qu’organisations facilitant la participation politique et la représentation des citoyens.
En effet, bien que les représentants soient désignés au hasard, les partis politiques pourraient servir de plateforme permettant aux citoyens de débattre des problèmes et de produire des propositions politiques consensuelles. Ils animeraient des débats, des conférences et des campagnes d’information citoyenne sur les différentes options politiques et les conséquences des choix. Ils joueraient également un rôle non négligeable dans la mobilisation des électeurs et la sensibilisation aux enjeux politiques, contribuant ainsi à la formation d’une opinion publique éclairée.
En outre, les partis politiques pourraient jouer un rôle de médiation et devenir, comme le sont les syndicats dans le domaine social, le corps intermédiaire du politique entre les citoyens et leurs représentants tirés au sort. Ils formeraient de cette façon un canal de communication entre les citoyens et les représentants, en recueillant les préoccupations et les demandes des premiers et en les transmettant aux seconds. Les partis politiques pourraient également aider à coordonner les actions des représentants et à faciliter la prise de décision collective.
En agissant en tant qu’intermédiaires, les partis politiques pourraient contribuer à renforcer la légitimité et l’efficacité du système démocratique dans une démocratie réelle et directe.
Tout ce qui précède étant entendu, il n’en reste pas moins que le parti politique “de nouvelle génération” pourra se réclamer d’une idéologie. Le Moove, par exemple, revendique celle de l’humanisme démocratique. C’est dire clairement qu’il met l’Homme et les valeurs humanistes des Lumières au centre du système démocratique, avant de pouvoir y inclure toute dimension matérialiste…

Politique et démocratie en France → choisir une autre commune que Chabestan

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